1. Chercher des simulacres. La pandémie existe. Elle est réelle. Ce n’est pas une invention. Mais on ment, et beaucoup, sur son ampleur. Les médias officiels s’obstinent dans l’idée qu’elle soit beaucoup plus grave qu’elle ne l’est en réalité. Il s’agit peut-être d’un virus biotechnologique créé pour se débarrasser de quelques grands-parents et mettre un frein à l’explosion démographique. Ou d’un produit de la zoonose. Au-delà de ce que nous pouvons savoir et/ou pressentir, elle est vraie. Concernant l’effondrement du système de santé, ce n’est pas aussi clair. Mais il s’agit ici de mettre fin aux opinions dissidentes quant à la toute-puissante modernité et ses sacro-saints dogmes. Face à un hypothétique effondrement économique imminent, face aux ultimes conséquences du néolibéralisme, motivé, à son tour, par un effondrement des ressources naturelles, les dirigeants du monde se voient obligés de mettre en œuvre des stratégies pour stopper les soulèvements populaires le moment venu. De manière préméditée ou non, ils ont bénéficié de l’excuse parfaite pour mettre en marche un simulacre mondial. Le capitalisme et la destruction qui s’y rapporte impliquent la nécessité pour les élites de sauvegarder leurs intérêts pour les temps à venir face à des scénarios de plus en plus dystopiques. Il ne s’agit pas seulement d’une question économique : il s’agit de rester au pouvoir. La protection des intérêts d’infimes minorités suppose la famine, la maladie et la misère pour une part de plus en plus importante de la population mondiale, outre la destruction de l’écosphère de Gaïa. Il s’agit de commencer à prévoir ces révoltes massives et à en tirer des conclusions pour y mettre un terme avec des garanties de succès, car les élites sont de moins en moins nombreuses et les affectés représentent déjà quelque 7 milliards d’individus.
2. Tous endettés. Comme nous le disions, nous ne savons pas si ce qui se
passe est délibéré ou non, mais nous savons qui sont et qui seront les plus
privilégiés. Lorsqu’il se passe quelque chose de grande ampleur, il faut
toujours se demander à qui cela profite. Pour le moment, les banques,
entreprises de téléphonie, entreprises énergétiques, grandes chaînes
agroalimentaires, agences de télévision, macro-entreprises de vente en ligne,
etc. n’ont cessé de fonctionner. Et lorsque la vaccination débutera, les
laboratoires pharmaceutiques feront fortune (ce texte a été écrit au début
des événements). Et si cela n’était pas encore suffisant, ils nous font
croire que les vaccins sont plus nécessaires que jamais. Pharmaceutiques,
banques, agroalimentaire conventionnelle, énergie, grandes chaînes de
distribution… C’est-à-dire ceux qui gouvernent le monde dans l’ombre. Les
usuriers remportent la palme. Tous les gouvernements du monde en ressortiront
fortement endettés, tout comme des millions d’entreprises, de travailleurs
indépendants, de familles, etc. Tout cela pourrait s’intituler : « Comment
tenir la poêle par le manche ». Toutes les traditions spirituelles ont mis
en garde contre le danger d’une économie régie par l’activité usuraire et
spéculative, ce qui n’est pas pareil, mais qui se complète. L’usure détruit la
société, la Nature et même la capacité spirituelle des individus, car il n’y a
rien de pire que de vivre avec une corde autour du cou… pour oublier
l’essentiel. Plus besoin d’envoyer d’armées ou de policiers pour contenir les
masses. Il suffit de les endetter…
3. La Nature, agonisante. L’effondrement écologique est imminent, je
crois. Les masses se réjouiront, comme c’est déjà le cas aujourd’hui, du fait
qu’un seul commandement mondial se chargera de la situation et imposera un
couvre-feu planétaire (ça, je l’ai écrit il y a des mois). Il faut
écouter les « experts ». Personne doté d’un peu de bon sens ne doute
de ces effondrements en question. Quand arriveront-ils bel et bien ?
Personne ne peut le savoir. Ce n’est qu’un avant-goût. Le néolibéralisme est la
dernière balle du capitalisme. Sa capacité de destruction est extraordinaire.
Les élites à sa tête aspirent à sauver les leurs lorsque viendra le dénouement
définitif. La compétition pour les ressources sera féroce. Elle entraînera de
graves émeutes sur toute la planète. Les élites s’entraînent à faire face à ces
émeutes et à en sortir indemnes, ce qui est, soit dit en passant, absolument
impossible. Cancer, obésité, maladies dégénératives, perturbateurs
endocriniens, stérilité… tout fait partie du même kit. Sans parler de
la pollution chimique, nucléaire, électromagnétique, acoustique, lumineuse…
et de la manière dont tout cela contribue à détruire les systèmes immunitaires
des personnes et de la société tout entière.
4. Le Dajjal / L’Antéchrist, un gouvernement unique. Celles et ceux
habitués à la lecture des textes eschatologiques des différentes traditions
spirituelles ne sont pas surpris par tout ce qui se passe. Cela fait partie
d’un scénario prédit il y a des siècles, voire des millénaires. On peut être
surpris par les détails, mais pas par la trame, bien connue. Les différentes
traditions spirituelles nous parlent d’une époque – l’actuelle – Kali
Yuga, une ère de destruction, d’altération de la nature, de disparition des
familles. D’un monde gouverné par des gens médiocres nourris par leurs passions
les plus viles. Une société qui, en définitive, ne vit pas seulement dos à
l’ordre spirituel, mais qui le nie catégoriquement. L’aboutissement de ce
processus sera l’arrivée d’Al Dajjal (pour les musulmans) ou de l’Antéchrist
(pour les chrétiens), pour ne citer que deux exemples similaires. Certains
textes le présentent comme un être impitoyable, sans compassion, extrêmement
perfide et subtil, borgne et originaire d’Orient. Davantage qu’une personne en
particulier, il pourrait être un état des choses, un stade de l’humanité. Ce
qui est clair, c’est qu’il se chargera du gouvernement mondial et qu’il le fera
en trompant des masses de plus en plus dociles et analphabètes. Très peu
résisteront à son charme et à ses chants des sirènes qui ne feront qu’instaurer
la corruption à gogo de manière trompeuse. Cela se passe déjà en ce moment : ce
qui est normal est reconnu comme aberrant et l’aberrant est considéré comme
naturel. L’usure, par exemple.
5. « Un monde en danger ». Que tout ce qui se passe ces
jours-ci soit prémonitoire de l’arrivée de l’Antéchrist ou non, que ce soit
prémédité ou non, il est clair en revanche que l’univers technologique déifié
de l’homme moderne est une réalité très irréelle, vulnérable et instable, même
si les popes de l’ère transhumaine veulent nous convaincre du contraire. À bien
des égards, la lutte contre les virus l’est également. Tous les experts
prédisent des cataclysmes en abondance dans les prochaines décennies. Nous
avons franchi trop de lignes rouges : maladies, extinction d’espèces,
pénuries… Le pire n’est pas encore arrivé. Pourvu que je me trompe. C’est un
monde extrêmement faible, irrationnel et malade. Ce sont les petites erreurs du
passé qui font les difficultés d’aujourd’hui. Tous les organismes indépendants
nous avaient prévenus. Dans la modernité, tout semble bien aller. Mais tout est
en fait une farce qui tient par un fil.
6. Le véritable drame est que le monde moderne survive au coronavirus.
Ces jours-ci, les uns et les autres s’empressent de souligner que l’affaire du
coronavirus peut être une bonne excuse pour que l’humanité réfléchisse et
décide de changer le cours suicidaire qu’elle a choisi il y a quelques siècles.
Ce qui se passe aujourd’hui n’est que le résultat de nombreuses décennies de
séparation de l’être humain de son essence la plus spirituelle et de la chute
de la dualité. Quiconque se trouve sur une voie initiatique vivante n’est en
rien surpris par tout ce qui se passe. Et, comme je l’ai déjà dit,
l’eschatologie des différentes traditions est claire à cet égard. On le voyait
venir. Ce n’est pas que je m’en réjouisse, ni le moins du monde, mais il n’y a
pas d’autre solution. Le compost le plus fertile est issu de la pourriture. Je
m’explique… La même humanité qui a été capable de détruire la Nature et de
créer un monde où tant de choses anormales (comme l’usure ou la traite des
Blanches) sont devenues une réalité totalement assumée par la majeure partie de
la population… ainsi que le système productif, économique, social,
alimentaire… qu’elle a engendré… ne sera jamais capable de trouver une
solution aux problèmes que cette même société a conçus. Pour que l’humanité
survive, le matérialisme doit mourir. Il n’y a pas d’autre alternative. Nous ne
voulons pas que le système actuel survive. Ce dont nous avons besoin, c’est
qu’il s’effondre pour de bon.
7. Conclusion. Tout est dit, ou presque. Nous ne sauverons pas le monde.
Cela ne dépend pas de nous. Tout est entre les mains de la Providence. Mais
nous pouvons faire notre possible pour ne pas le corrompre davantage.
Aujourd’hui n’est pas le moment de chercher des états de conscience altérés,
mais les plus inaltérés possibles et de ne faire souffrir personne par nos
actes, c’est-à-dire revenir à l’essentiel, à la primordialité. La beauté est la
meilleure façon que j’ai pu trouver pour lutter contre la laideur du monde
moderne qui a détruit l’écosphère, qui était encore, jusqu’à il y a deux
siècles, un véritable paradis. Le message que j’essaie de transmettre avec ce
texte et tout ce que je fais est que nous avons perdu la grande guerre contre
la modernité et sa capacité destructrice. L’abîme est proche et causera
beaucoup de douleur à des millions de personnes. Il faut à présent préparer la
population à ce qui arrive à grand pas et être en mesure de créer de la lumière
et de la beauté là où il y a de l’obscurité et de la laideur. « Il fait
encore nuit », comme disait Saint Jean de la Croix. De grandes masses de
population endettée, des gouvernements hypothéqués, des entreprises soumises à
l’usure… C’est ce qui se cache derrière la « plandémie ». Tout
correspond à un plan maléfique de ceux qui aspirent à corrompre le monde et
l’âme du monde.
Entre-temps, il est de notre devoir d’être fermes et de rester sourds aux
chants des sirènes qui contribuent à la destruction. Il est de notre devoir de
faire le contraire, de travailler à la régénération, quoi qu’il arrive. Et ne
jamais oublier, toujours garder à l’esprit que : « S’il est certain qu’ils
manigancent, notre Bien-Aimé manigance davantage et mieux ». C’est
pourquoi, tôt ou tard, la lumière arrivera. N’en doutons pas.
Que Dieu nous protège.