Charognavirus. Sept réflexions sur la « plandémie ».

1. Chercher des simulacres. La pandémie existe. Elle est réelle. Ce n’est pas une invention. Mais on ment, et beaucoup, sur son ampleur. Les médias officiels s’obstinent dans l’idée qu’elle soit beaucoup plus grave qu’elle ne l’est en réalité. Il s’agit peut-être d’un virus biotechnologique créé pour se débarrasser de quelques grands-parents et mettre un frein à l’explosion démographique. Ou d’un produit de la zoonose. Au-delà de ce que nous pouvons savoir et/ou pressentir, elle est vraie. Concernant l’effondrement du système de santé, ce n’est pas aussi clair. Mais il s’agit ici de mettre fin aux opinions dissidentes quant à la toute-puissante modernité et ses sacro-saints dogmes. Face à un hypothétique effondrement économique imminent, face aux ultimes conséquences du néolibéralisme, motivé, à son tour, par un effondrement des ressources naturelles, les dirigeants du monde se voient obligés de mettre en œuvre des stratégies pour stopper les soulèvements populaires le moment venu. De manière préméditée ou non, ils ont bénéficié de l’excuse parfaite pour mettre en marche un simulacre mondial. Le capitalisme et la destruction qui s’y rapporte impliquent la nécessité pour les élites de sauvegarder leurs intérêts pour les temps à venir face à des scénarios de plus en plus dystopiques. Il ne s’agit pas seulement d’une question économique : il s’agit de rester au pouvoir. La protection des intérêts d’infimes minorités suppose la famine, la maladie et la misère pour une part de plus en plus importante de la population mondiale, outre la destruction de l’écosphère de Gaïa. Il s’agit de commencer à prévoir ces révoltes massives et à en tirer des conclusions pour y mettre un terme avec des garanties de succès, car les élites sont de moins en moins nombreuses et les affectés représentent déjà quelque 7 milliards d’individus.


2. Tous endettés. Comme nous le disions, nous ne savons pas si ce qui se passe est délibéré ou non, mais nous savons qui sont et qui seront les plus privilégiés. Lorsqu’il se passe quelque chose de grande ampleur, il faut toujours se demander à qui cela profite. Pour le moment, les banques, entreprises de téléphonie, entreprises énergétiques, grandes chaînes agroalimentaires, agences de télévision, macro-entreprises de vente en ligne, etc. n’ont cessé de fonctionner. Et lorsque la vaccination débutera, les laboratoires pharmaceutiques feront fortune (ce texte a été écrit au début des événements). Et si cela n’était pas encore suffisant, ils nous font croire que les vaccins sont plus nécessaires que jamais. Pharmaceutiques, banques, agroalimentaire conventionnelle, énergie, grandes chaînes de distribution… C’est-à-dire ceux qui gouvernent le monde dans l’ombre. Les usuriers remportent la palme. Tous les gouvernements du monde en ressortiront fortement endettés, tout comme des millions d’entreprises, de travailleurs indépendants, de familles, etc. Tout cela pourrait s’intituler : « Comment tenir la poêle par le manche ». Toutes les traditions spirituelles ont mis en garde contre le danger d’une économie régie par l’activité usuraire et spéculative, ce qui n’est pas pareil, mais qui se complète. L’usure détruit la société, la Nature et même la capacité spirituelle des individus, car il n’y a rien de pire que de vivre avec une corde autour du cou… pour oublier l’essentiel. Plus besoin d’envoyer d’armées ou de policiers pour contenir les masses. Il suffit de les endetter…

3. La Nature, agonisante. L’effondrement écologique est imminent, je crois. Les masses se réjouiront, comme c’est déjà le cas aujourd’hui, du fait qu’un seul commandement mondial se chargera de la situation et imposera un couvre-feu planétaire (ça, je l’ai écrit il y a des mois). Il faut écouter les « experts ». Personne doté d’un peu de bon sens ne doute de ces effondrements en question. Quand arriveront-ils bel et bien ? Personne ne peut le savoir. Ce n’est qu’un avant-goût. Le néolibéralisme est la dernière balle du capitalisme. Sa capacité de destruction est extraordinaire. Les élites à sa tête aspirent à sauver les leurs lorsque viendra le dénouement définitif. La compétition pour les ressources sera féroce. Elle entraînera de graves émeutes sur toute la planète. Les élites s’entraînent à faire face à ces émeutes et à en sortir indemnes, ce qui est, soit dit en passant, absolument impossible. Cancer, obésité, maladies dégénératives, perturbateurs endocriniens, stérilité… tout fait partie du même kit. Sans parler de la pollution chimique, nucléaire, électromagnétique, acoustique, lumineuse… et de la manière dont tout cela contribue à détruire les systèmes immunitaires des personnes et de la société tout entière.


4. Le Dajjal / L’Antéchrist, un gouvernement unique. Celles et ceux habitués à la lecture des textes eschatologiques des différentes traditions spirituelles ne sont pas surpris par tout ce qui se passe. Cela fait partie d’un scénario prédit il y a des siècles, voire des millénaires. On peut être surpris par les détails, mais pas par la trame, bien connue. Les différentes traditions spirituelles nous parlent d’une époque – l’actuelle – Kali Yuga, une ère de destruction, d’altération de la nature, de disparition des familles. D’un monde gouverné par des gens médiocres nourris par leurs passions les plus viles. Une société qui, en définitive, ne vit pas seulement dos à l’ordre spirituel, mais qui le nie catégoriquement. L’aboutissement de ce processus sera l’arrivée d’Al Dajjal (pour les musulmans) ou de l’Antéchrist (pour les chrétiens), pour ne citer que deux exemples similaires. Certains textes le présentent comme un être impitoyable, sans compassion, extrêmement perfide et subtil, borgne et originaire d’Orient. Davantage qu’une personne en particulier, il pourrait être un état des choses, un stade de l’humanité. Ce qui est clair, c’est qu’il se chargera du gouvernement mondial et qu’il le fera en trompant des masses de plus en plus dociles et analphabètes. Très peu résisteront à son charme et à ses chants des sirènes qui ne feront qu’instaurer la corruption à gogo de manière trompeuse. Cela se passe déjà en ce moment : ce qui est normal est reconnu comme aberrant et l’aberrant est considéré comme naturel. L’usure, par exemple.


5. « Un monde en danger ». Que tout ce qui se passe ces jours-ci soit prémonitoire de l’arrivée de l’Antéchrist ou non, que ce soit prémédité ou non, il est clair en revanche que l’univers technologique déifié de l’homme moderne est une réalité très irréelle, vulnérable et instable, même si les popes de l’ère transhumaine veulent nous convaincre du contraire. À bien des égards, la lutte contre les virus l’est également. Tous les experts prédisent des cataclysmes en abondance dans les prochaines décennies. Nous avons franchi trop de lignes rouges : maladies, extinction d’espèces, pénuries… Le pire n’est pas encore arrivé. Pourvu que je me trompe. C’est un monde extrêmement faible, irrationnel et malade. Ce sont les petites erreurs du passé qui font les difficultés d’aujourd’hui. Tous les organismes indépendants nous avaient prévenus. Dans la modernité, tout semble bien aller. Mais tout est en fait une farce qui tient par un fil.


6. Le véritable drame est que le monde moderne survive au coronavirus. Ces jours-ci, les uns et les autres s’empressent de souligner que l’affaire du coronavirus peut être une bonne excuse pour que l’humanité réfléchisse et décide de changer le cours suicidaire qu’elle a choisi il y a quelques siècles. Ce qui se passe aujourd’hui n’est que le résultat de nombreuses décennies de séparation de l’être humain de son essence la plus spirituelle et de la chute de la dualité. Quiconque se trouve sur une voie initiatique vivante n’est en rien surpris par tout ce qui se passe. Et, comme je l’ai déjà dit, l’eschatologie des différentes traditions est claire à cet égard. On le voyait venir. Ce n’est pas que je m’en réjouisse, ni le moins du monde, mais il n’y a pas d’autre solution. Le compost le plus fertile est issu de la pourriture. Je m’explique… La même humanité qui a été capable de détruire la Nature et de créer un monde où tant de choses anormales (comme l’usure ou la traite des Blanches) sont devenues une réalité totalement assumée par la majeure partie de la population… ainsi que le système productif, économique, social, alimentaire… qu’elle a engendré… ne sera jamais capable de trouver une solution aux problèmes que cette même société a conçus. Pour que l’humanité survive, le matérialisme doit mourir. Il n’y a pas d’autre alternative. Nous ne voulons pas que le système actuel survive. Ce dont nous avons besoin, c’est qu’il s’effondre pour de bon.


7. Conclusion. Tout est dit, ou presque. Nous ne sauverons pas le monde. Cela ne dépend pas de nous. Tout est entre les mains de la Providence. Mais nous pouvons faire notre possible pour ne pas le corrompre davantage. Aujourd’hui n’est pas le moment de chercher des états de conscience altérés, mais les plus inaltérés possibles et de ne faire souffrir personne par nos actes, c’est-à-dire revenir à l’essentiel, à la primordialité. La beauté est la meilleure façon que j’ai pu trouver pour lutter contre la laideur du monde moderne qui a détruit l’écosphère, qui était encore, jusqu’à il y a deux siècles, un véritable paradis. Le message que j’essaie de transmettre avec ce texte et tout ce que je fais est que nous avons perdu la grande guerre contre la modernité et sa capacité destructrice. L’abîme est proche et causera beaucoup de douleur à des millions de personnes. Il faut à présent préparer la population à ce qui arrive à grand pas et être en mesure de créer de la lumière et de la beauté là où il y a de l’obscurité et de la laideur. « Il fait encore nuit », comme disait Saint Jean de la Croix. De grandes masses de population endettée, des gouvernements hypothéqués, des entreprises soumises à l’usure… C’est ce qui se cache derrière la « plandémie ». Tout correspond à un plan maléfique de ceux qui aspirent à corrompre le monde et l’âme du monde.


Entre-temps, il est de notre devoir d’être fermes et de rester sourds aux chants des sirènes qui contribuent à la destruction. Il est de notre devoir de faire le contraire, de travailler à la régénération, quoi qu’il arrive. Et ne jamais oublier, toujours garder à l’esprit que : « S’il est certain qu’ils manigancent, notre Bien-Aimé manigance davantage et mieux ». C’est pourquoi, tôt ou tard, la lumière arrivera. N’en doutons pas.

Que Dieu nous protège.